Elizabeth May : Monsieur le Président, puisque c’est la première fois que j’ai l’occasion de prendre la parole aujourd’hui au sujet de la motion de l’opposition, je tiens d’abord à remercier un voisin et vieil ami, le député de Victoria, qui représente la circonscription voisine de la mienne. Je lui sais gré de cette excellente occasion d’intervenir.
J’appuie pleinement sa motion. Il est essentiel que nous nous penchions sur le RPC. C’est le régime le plus fiable. C’est le meilleur moyen de protéger et de planifier les prestations de retraite dont auront besoin les Canadiens.
Je voudrais poser une question au député d’en face, le député de Calgary-Nord-Est. Selon moi, il est assez révélateur que dans l’éditorial du Globe and Mail d’aujourd’hui, on dise que le gouvernement actuel a commis une terrible erreur en rejetant les demandes visant à entamer des discussions sur la bonification des prestations du RPC. Il s’agit du même journal dont l’équipe éditoriale a appuyé le chef conservateur aux dernières élections. C’est un quotidien dont la position éditoriale représente, de façon assez générale, une approche favorable aux entreprises et financièrement responsable. De très nombreuses voix s’élèvent au pays en faveur d’une augmentation du RPC. La question est de savoir si les conservateurs les entendront.
Devinder Shory : Monsieur le Président, puisque c’est la première fois que j’ai l’occasion de prendre la parole aujourd’hui au sujet de la motion de l’opposition, je tiens d’abord à remercier un voisin et vieil ami, le député de Victoria, qui représente la circonscription voisine de la mienne. Je lui sais gré de cette excellente occasion d’intervenir.
J’appuie pleinement sa motion. Il est essentiel que nous nous penchions sur le RPC. C’est le régime le plus fiable. C’est le meilleur moyen de protéger et de planifier les prestations de retraite dont auront besoin les Canadiens.
Je voudrais poser une question au député d’en face, le député de Calgary-Nord-Est. Selon moi, il est assez révélateur que dans l’éditorial du Globe and Mail d’aujourd’hui, on dise que le gouvernement actuel a commis une terrible erreur en rejetant les demandes visant à entamer des discussions sur la bonification des prestations du RPC. Il s’agit du même journal dont l’équipe éditoriale a appuyé le chef conservateur aux dernières élections. C’est un quotidien dont la position éditoriale représente, de façon assez générale, une approche favorable aux entreprises et financièrement responsable. De très nombreuses voix s’élèvent au pays en faveur d’une augmentation du RPC. La question est de savoir si les conservateurs les entendront.