Questions orales : la crise humanitaire en Syrie

Elizabeth May : Monsieur le Président, je pense que tous les députés sont conscients de l’aggravation de la crise humanitaire causée par la poursuite des hostilités et la situation très difficile en Syrie. Plus d’un millions de réfugiés vivent dans des camps en Turquie, en Jordanie et au Liban, et les victimes de ce conflit ne bénéficient pas d’une aide suffisante.

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Je sais que le gouvernement a augmenté les contributions financières qu’il verse au Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, mais que peut-il faire d’autre? Serait-il possible de fournir une aide d’urgence aux réfugiés ayant des liens avec le Canada?

Le très hon. Stephen Harper : Monsieur le Président, il va sans dire que nous sommes tous profondément troublés par la crise humanitaire en Syrie, qui ne cesse de s’aggraver. Ce n’est pas seulement ce qui se passe en Syrie qui nous préoccupe, mais aussi l’instabilité générale qui menace le reste de la région. C’est pourquoi, comme la chef du Parti vert l’a mentionné, le gouvernement a apporté de l’aide à la Syrie et à certains de ses voisins. En collaboration avec divers organismes gouvernementaux et nos alliés, nous continuons à chercher des façons d’aider davantage.