Recours au Règlement – le Comité permanent des finances

Elizabeth May : Monsieur le Président, je tiens tout d’abord à remercier le leader parlementaire de l’opposition officielle d’avoir soulevé cette question.
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Comme vous pouvez l’imaginer, monsieur le Président, je suis un peu dans l’embarras. Je ne sais pas précisément comment exprimer les diverses raisons pour lesquelles la situation actuelle – notamment en ce qui concerne les travaux du Comité des finances – porte atteinte à mes droits. J’aimerais avoir la possibilité de préparer mes arguments et de vous les présenter demain.

Monsieur le Président, vous avez déjà dit, dans la décision que vous avez prise en avril à l’égard de la question soulevée par le député de Langley, que c’est « le devoir indéniable du Président d’agir comme gardien des droits et privilèges des députés et de la Chambre en tant qu’institution ». Je m’en remets donc à vous, qui êtes le gardien de mes droits, et je vous demande de me permettre de présenter demain ma réponse à l’excellent recours au Règlement qu’a fait le leader parlementaire de l’opposition officielle.